Un public très hétéroclite s’est présenté à nous : d’un enfant de 8 ans qui me demande quand il peut revenir d’urgence, à un homme de 80 ans qui s’étonne et s’amuse d’une scénographie tellement peu traditionnelle pour un univers qu’il croyait indéboulonnable, les retours furent enrichissants.
Dès à présent, les comédiens ont pu tester leurs délires sur les rires d’un public bien souvent conquis. L’idée de se frotter à de nouveaux spectateurs me redonne aussi l’envie d’affirmer en plus avant la présence musicale de notre « bassiste-DJ » et de peut-être radicaliser encore la position de « voyeur » du spectateur au sein d’un amoralisme ambiant des plus salutaires.
Bref, une suite éventuelle de ce spectacle ne peut que m’inviter à rouvrir la bête « feydélienne » que je dépiautais il y a encore quelques mois afin qu’elle nous livre encore ci et là de nouveaux mystères…
Thibaut Nève
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